De l’avenir de la France ou le rejet de la haine
Second tour entre haine et finance. J’ai failli pleurer. Dimanche dernier, à 20 heures, je me suis senti mal. Macron était annoncé, je n’étais pas surpris. A vrai dire, je le voyais même à 25%. Son visage étrangement proportionné et son nez, sa péninsule, me fixent. Je ne l’aime pas. Il ne m’inspire pas confiance,…